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La reine Margot - Tome II

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Chapter 1 No.1

Word Count: 2692    |    Released on: 30/11/2017

ter

plus que sauver la vie d'un homme: il avait e

ute probabilité, devenait roi de Pologne. Quant à la Navarre, comme M. le duc d'Anjou était l'

; et au lieu de Charles IX, qui le tolérait, il voyait monter au tr?ne de France le duc d'Anjou, qui, n'ayant

était élancé sur Charles IX, et nous avons vu ce qui était résulté de cette réfle

dévouement dont il était impossi

ait admiré ce courage étrange de Henri qui, pa

oi soi-même. Il fallait disputer la Navarre au duc d'Alen?on et au prince de Condé; il fallait surtout qu

échit profondément à la situation. En

nglant encore, il se rendit chez le duc d'Alen?on, qu'il tr

t, le prince f

remarquer au roi que votre balle avait frappé la jambe de son cheval, au lieu d'aller frapper le sanglier, comme c'était votre inten

tion cette espèce de dénonciation que vous avez faite, et qui, vous l'avez vu, n'a pas eu un résulta

a bonne ou à la mauvaise intention que j'ai à votre égard

sa réserve ordinaire; par

s, car la confidence que je viens vous faire exclut toute réserve et toute p

t Fran?ois, qui comm

vous parler de la chose qui m'amène, surtout après la

palissant, je ne sais pas c

our que je ne vous avertisse pas que les hugue

manda d'Alen?on, et

Phale, le fils du brave de Mouy as

Ou

r au risque de sa vie pour me dé

et que lui ave

a sauvé la vie, et que la reine mère a pour moi remplacé ma m

es étaient

e de Navarre, et comme en réalité ce tr?ne m

e l'adhésion qu'il venait solli

it même. Mais depui

penti, mon frère? i

ment que M. de Mouy, mécontent de

demanda vive

n. Près du prince

t probable,

onna?tre d'une manière infaillible le chef

représente qu'une moitié du parti. Or, cette autre moitié, qui n'est point à dédaigner, n'a pas perdu l'espoir de

us c

Cette troupe qui nous a rejoints à la chasse, av

entilshomme

pe, qui m'a fait un sig

t le vicomt

voulaient, l'av

ous proposai

t donc évident qu'il y a un second parti qui

econd

on marche, les troupes sont désignées, on n'attend qu'un signal. Or, dans cette situation suprême, qui demande de ma part une prompte

eux, comme

à un frère,

onc, je vo

nulle capacité; je suis un bon gentilhomme de campagne, pauvre, sensuel et timide; le métier de con

celle d'un prince dont la fortune est limitée par une borne dans le champ paternel ou

is avoir un ami réel, je me démettrais en sa faveur de la puissance que veut me conf

ous vous tromp

avorter en des déchirements affreux une tentative qui produirait à la lumière quelque homme... indigne... je préfère en vérité ave

us, un huguenot converti, mal converti, on le croyait du moins, vous lèveriez le couteau sur vos frères! Henri, Henri, en faisant cela, savez-vous que vous livre

ges et livides, pressait la main de Henri pour le su

croyez, Fran?ois, qu'il arriverait tant de malheurs? Avec la parol

e l'aviez-vous pas vous-même? Oh! Henri, c'est moi qui vous le dis: si vous faites cela, vous les perd

t réfléchi

agi autrement. à votre place, par exemple, à votre place, à vo

oua ironique

, dit-il que

t mon crédit répondraient à ma conscience de la vie des séditieux, et je tirerais utilité pour moi d'abord e

avec une joie qui dilata to

oit praticable, et qu'il nous épargne

votre situation élevée et intéressante à la fois, la bienveillance enfin que

hisme dans le parti. Ceux qui so

vous les concilier

sque

en moi; ensuite, par la crainte où ils seraien

oms, qui me

entre-sa

ferie

à la cour: cela vient sans doute de ce que vous êtes persécuté comme moi

rougit de

in, régnez en Navarre; et pourvu que vous me conserviez une place à

varre! dit le

, n'est-ce pas? J'achève votre pensée. Fran?

a quatre cents de Paris à Cracovie; vous serez donc ici pour recueillir l'héritage juste au moment où le roi de Pologne apprendra qu'il est vacant. Alors, si vous êtes content de moi, Fran?ois, vous me donnerez ce royaume de Navarre, qui ne sera plus qu'un des fleurons de votre couronne; de cette fa?

ien que je ne comprends pas que vous renonciez à

posa la main sur l

certaines mains; je n'essaierai pas de soulever celui-là; la

, véritablemen

de Mouy et je

nce, cher frère, dit d'Alen?

utteur qui sent plier le

te des chefs et le plan de l'entreprise seront chez vous

Henri et la serra avec ef

z le duc d'Alen?on, et cela, selon

en souriant; deux b

ndis que le duc d'Alen?on palissait d'angoisse. Puis il fit quelqu

tira de son aum?nièr

elle, je vous la donne pour mettre au

u bruit chez votre bon frère Henri, ne bougez

montrer le beau présent q

tre nom et au mien, car j'en avais

nne mère m'apporte ce bijou, et en double l

afe, et se confondit en remerciements.

ute et va en faire autant. On ne soupera donc pas en famille ce soir, et nous serons servis chacun chez nous. Ah! Henri, j'oubliais

madame! répondit He

que vous avez fait

pas assez, et croy

ire quelque chose qu

o

t de mon bon frère sera bienvenu,

qui avait un corps, vient de trouver une tête et un coeur. Seulement prenons garde à nous. Catherine me fait un cade

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