/0/15271/coverbig.jpg?v=9defc82e311220c9957f222456efaaf5)
Suzanne Normis by Henry Gréville
Suzanne Normis by Henry Gréville
...Le docteur, penché sur la poitrine haletante de ma pauvre femme, l'ausculta avec attention, puis la reposa tout doucement sur son oreiller.
--Encore un peu de patience, chère madame, lui dit-il avec bonté: cela va déjà un peu mieux, et bient?t...
Ma femme leva sur lui ses yeux brillants de fièvre. Le docteur se tut, et pressa la main blanche, presque transparente qui reposait sur le drap.
--Nous allons toujours vous ?ter cette fièvre-là, reprit-il en griffonnant une ordonnance; et demain, nous verrons. Je passerai dans la soirée. Au revoir; bon courage.
Ma femme répondit d'une voix claire et distincte:
--Adieu, cher docteur, merci.
Le médecin disparaissait sous les rideaux de la porte; je le suivis dans le salon voisin.
--Eh bien, docteur? lui dis-je, presque tranquille,--sa voix et ses paroles avaient un peu calmé mes angoisses.
Il se retourna vers moi, et me serra les deux mains... Ses bons yeux gris clair, pleins de pitié et de douleur, me firent l'effet de deux couteaux de boucher qu'il m'aurait brusquement enfoncés dans la poitrine; je répétai machinalement:
--Eh bien?
--La fièvre va tomber d'ici deux heures, dit-il, et ensuite... Prenez garde, ajouta-t-il en me serrant le bras, elle peut vous entendre...
Le cri que j'allais pousser resta dans ma poitrine, la déchirant, la torturant. Je fis un mouvement pour me dégager le cou; j'étouffais.
--Soyez homme, reprit le docteur. Vous avez une fille.
--Une orpheline? re'pondis-je si tranquillement que j'en fus étonné moi-même.
Il me semblait que j'étais environné d'un océan de glace.
--Mon pauvre ami, dit le docteur après un silence, elle ne souffrira pas beaucoup; le plus dur est passé.
--Alors, demain?
--Ce soir peut-être, demain matin probablement. Je reviendrai. Je vous demande pardon de vous quitter ainsi; on m'attend et l'on souffre ailleurs.
--Allez, allez, docteur! lui dis-je machinalement. Vous voyez, je suis calme.
Il s'enfuit presque en courant.
Je fis un effort inou? pour composer mon visage, puis je revins lentement sur mes pas. Ecartant les rideaux de satin, j'ouvris la porte, et je me retrouvai en face de ma femme.
Elle était encore bien jolie, malgré les fatigues anciennes et la maladie récente, malgré la mort qui allait me la prendre. Au fond de ses grands yeux bleus qui me regardaient tristement, que d'expressions diverses, toutes plus chères les unes que les autres, se retrouvaient confondues! Que d'amour, que de regrets, que de prières! Et nous nous étions tant aimés... et nous n'étions mariés que depuis six ans!...
--Qu'est-ce qu'il t'a dit? murmura ma femme pendant que je me penchais sur elle, couvrant de baisers timides son front et ses cheveux noirs, si doux, si longs, dont les tresses roulaient jusqu'à ses genoux sur le drap brodé.
--Il m'a dit que ta fièvre va tomber, ma chérie, lui dis-je en continuant à l'embrasser afin qu'elle ne vit pas mon visage; je me sentais très calme cependant, et, sinon résigné, au moins prêt à tout.
--Oui, répondit-elle tout bas, et comme à elle-même; et quand la fièvre sera tombée, je m'en irai.
Un petit piétinement derrière une porte placée auprès du lit me coupa la parole. La porte s'ouvrit, et notre fille Suzanne entra sur ses deux petits pieds encore incertains.
--Maman! dit-elle avec un cri d'oiseau qui revient au nid, maman et papa! voilà!
De ses toutes petites mains gantées de moufles en laine, elle serrait sur sa poitrine un bouquet de lilas blanc. La bonne qui la suivait me dit que, depuis le moment où elles étaient entrées clans le magasin de fleurs, Suzanne n'avait pas permis qu'on touchat à son offrande.
La petite fille s'était avancée jusqu'au bord du lit de sa mère qui lui souriait... et de quel sourire! La vieille bonne détourna la tête et se sauva tout à coup dans la pièce voisine.
--Je veux embrasser maman! dit Suzanne, en tendant les bras.
Je la soulevai, et je l'assis sur le bord du lit. Elle n'avait pas donné à sa bonne le temps de lui ?ter sa toilette de promenade. Les petites bottes de fourrure blanche, les guêtres, la robe d'étoffe moutonnée, le petit chapeau de fourrure, toute cette blancheur lui donnait l'apparence d'un flocon de neige tombé du ciel. Elle saisit à pleines mains le bouquet de lilas et le déposa sur la poitrine de sa mère.
--Pour toi, lui dit-elle. C'est Suzanne qui l'a acheté.
Elle fit un demi-tour, se mit à quatre pattes sur le lit, et se précipita au cou de sa mère. J'étendis les bras pour épargner à ma pauvre femme la secousse trop brusque.
--Laisse-la, dit-elle, cela ne fait plus rien. La petite fille couvrait de baisers délicats les cheveux et le visage de sa mère. Elle cherchait une place pour chaque baiser, et souriait après l'avoir déposé bien doucement. Elle fit ainsi tout le tour du pale visage dont les yeux s'étaient fermés sous ses caresses.
--A papa! dit-elle ensuite en me tendant les mains.
Je la pris dans mes bras, et je re?us aussi ma part de baisers. Ma femme avait rouvert les yeux, et de grosses larmes roulaient lentement le long de ses joues. Je déposai l'enfant à terre.
--Va dire à ta bonne qu'elle te mette une autre robe, dis-je à Suzanne.
Aussit?t la petite, toujours obéissante, reprit le chemin de sa chambre; arrivée sur le seuil, elle se retourna, nous jeta une poignée de baisers, et disparut. La musique de sa voix nous arrivait comme un gazouillement... Je me hatai de fermer la porte, et je revins près de ma femme.
Suzanne avait deux ans et demi,--et c'est en la soignant d'une longue et dangereuse maladie, que ma femme avait contracté la bronchite dont elle devait mourir. Jamais, depuis sa naissance, Suzanne n'avait dormi dans une autre chambre que la n?tre: le petit lit de satin bleu, avec ses rideaux de mousseline brodée, ses noeuds, ses houppes, ses franges, plus semblable à une bonbonnière qu'à autre chose, était encore auprès de l'oreiller de ma femme. Que de nuits blanches nous avions passées ensemble ou tour à tour, près de la pauvre petite qui ne pouvait pas venir à bout de faire ses dents! Le fauteuil installé à demeure près du lit était tout usé par les longues stations de la mère qui avait endormi là son enfant sur ses genoux.
Et maintenant que Suzanne était sauvée, maintenant que son petit ratelier complet s'étalait triomphant dans ses rires joyeux, voilà que ma femme, épuisée de lassitude et d'angoisses, n'avait plus trouvé de force pour continuer son oeuvre... Elle avait disputé sa fille à la mort pendant neuf semaines, et la mort, furieuse de s'être laissé voler l'enfant, prenait la mère!
Je n'aurais pas d? permettre ce sacrifice, cette abnégation entière, je le sais... Mais nous avions déjà perdu deux enfants; notre premier-né avait été pour ainsi dire tué par les remèdes empiriques d'une bonne anglaise, et le second, un gar?on aussi, avait été empoisonné par le lait de sa nourrice. Le jour où ma femme s'était sentie mère pour la troisième fois, elle m'avait fait promettre de lui laisser élever cet enfant-là.
--Je le sauverai, tu verras! me disait-elle avec des yeux brillants de joie et d'espérance.
Hélas! elle l'avait sauvé, mais à quel prix!
Lorsque j'eus refermé la porte sur l'enfant, je reviens m'asseoir auprès de la mère. Elle n'avait voulu personne auprès d'elle pendant sa maladie. Les femmes de chambre et les gardes-malades étaient sous la main, prêtes à secourir, mais nous étions restés seuls ensemble; aucun tiers incommode n'avait troublé la joie que nous éprouvions --même à cette heure terrible--à nous trouver l'un près de l'autre.
--Comme elle est belle! dit ma femme en serrant la main que je venais de mettre dans la sienne.
C'est de Suzanne qu'elle parlait; toute sa vie était concentrée sur cette petite tête blonde.
--Elle est sauvée maintenant; elle va grandir; elle deviendra grande et belle, et elle t'aime tant!
Ma femme parlait facilement. J'en fus surpris; puis je me rappelai soudain que ces sortes de maladies amènent toujours un mieux sensible avant la fin. Je baissai la tête, et je m'appuyai sur l'oreiller, ma joue contre la joue de ma femme.
--écoute, reprit-elle au bout d'un moment, --ce que j'ai fait, il faut que tu le continues promets-moi que, jusqu'à ce qu'elle soit grande, jusqu'à sept ans au moins, l'enfant couchera ici, --elle indiquait le petit lit;--que tu ne la confieras pas à une bonne, même dévouée; que son sommeil sera surveillé par toi, que...
L'oppression la saisit si fort, qu'elle palit, ferma les yeux,--je crus que c'était fini.
Quelques minutes après, je la croyais endormie, elle rouvrit les yeux.
--Le promets-tu? dit-elle.
--Je le promets! répondis-je, le coeur plein d'un ardent dévouement. Je te le jure sur nos six années de bonheur, sur la vie même de l'enfant!
--Et elle sera heureuse?
--Elle sera heureuse, quand je devrais être malheureux! Au prix de tous les sacrifices, elle sera heureuse!
Ma femme m'appela des yeux; je la serrai sur mon coeur, et elle me rendit mon étreinte avec ses deux bras passés autour de mon cou.
--Vois-tu, me dit-elle après un silence, je l'ai bien aimée; je crois que je l'ai aimée plus que toi,--mais c'est parce qu'elle était à toi. Cela ne te fache pas, dis, que, pendant un temps tu n'aies été que le second dans mon coeur?
--Non, mon ange bien-aimé, cela ne me fache pas; tu as bien fait; tout ce que tu as fait est bien... mais je n'aurais pas d? permettre...
--Nous n'avions pas le choix, dit ma femme avec un soupir... elle serait morte!... Le docteur a dit vrai, ma fièvre s'en va, ajouta-t-elle! Suzanne dormira ici cette nuit, n'est-ce pas?
--Comme tu voudras, ma chère Marie, tout ce que tu voudras.
Ma femme s'endormit. La nuit venait et remplissait d'ombre cette chambre où nous avions été si heureux. C'était notre chambre nuptiale, cela seul e?t suffi pour nous la rendre chère; mais elle était encore pleine d'autres souvenirs. Là étaient nés nos trois enfants, là nous avions appris à Suzanne le grand art de se tenir sur ses petits pieds hésitants; le tapis bleu et blanc portait les traces de plus d'un joujou brisé, de plus d'un fruit écrasé... Nous voulions le changer au printemps... ?A présent que Suzanne est si sage!? disait ma femme en souriant, la veille du jour où elle était tombée malade.
Je me levai sur la pointe du pied et j'allumai la veilleuse. Chaque minute m'emportait une part de ma chère femme, et je ne voulais pas d'intrus dans ces minutes solennelles..
On vint me chercher pour d?ner; je fis signe que je ne d?nerais pas. Ma femme n'avait plus une notion bien exacte du temps. Elle était dans un demi-sommeil sans souffrance, comme l'avait prédit le docteur.
A huit heures, on m'apporta la petite fille, déshabillée, dans sa robe de nuit, les yeux gros de sommeil,--mais ne voulant pas dormir sans avoir embrassé ?maman?.
Je la pris dans mes bras et je la penchai bien doucement sur la main de sa mère. Elle la baisa, puis remonta jusqu'au visage.
Ma femme ouvrit les yeux: une expression presque sauvage passa sur sa figure; avec une force que je ne lui supposais pas, elle saisit l'enfant et la couvrit de baisers.
--Bonsoir, bonsoir! dit la petite en agitant sa menotte.
Je la mis dans son petit lit, je la couvris soigneusement, et elle tomba aussit?t endormie.
Je me hatai de revenir à ma femme. Elle semblait avoir oublié ce qui venait de se passer, et ses yeux éteints ne voyaient que le vague.
Des heures s'écoulèrent ainsi... courtes et longues à la fois,--courtes, irréparables--et quelle éternité d'agonie pour mon coeur déchiré dans les soixante minutes d'une heure!
Les premières lueurs du jour se glissèrent dans la chambre endormie. La petite n'avait pas bougé depuis la veille au soir. A six heures, un beau rayon doré passa entre les rideaux.
Ma femme fit un mouvement... Je m'approchai d'elle, bien près, bien près, nos deux mains nouées, pour un moment encore nos deux vies confondues...
--Bonjour, maman! bonjour, papa! cria la voix encore endormie de Suzanne; et la petite fille, s'aidant du filet de son lit, se mit sur son séant. Ses deux mains rouges de santé se cramponnaient au bord, et soutenaient son visage mutin, rose et blanc; ses cheveux frisés tombaient en désordre sur ses grands yeux bleus, et elle riait à travers ses boucles mêlées.
--J'aime maman! cria la voix angélique de notre enfant.
A cette voix, la mère ouvrit ses yeux dilatés par la mort, et s'attachant à moi d'une étreinte désespérée:
--Heureuse! heureuse!... dit-elle deux fois.
--Je le jure! répondis-je éperdu.
Pendant ce temps, Suzanne, s'aidant de la chaise placée près du berceau, était presque venue à bout de descendre. Ma femme relachait son étreinte... elle respirait encore cependant, et elle comprenait... J'enlevai l'enfant, et du même mouvement je la déposai auprès de sa mère.
--Je... je vous aime... dit celle-ci, en essayant de nous étreindre encore. Elle se laissa aller sur son oreiller...
Je mis dans la main de Suzanne le bouquet de lilas oublié la veille sur le tapis.
--Mets cela sur ta mère, lui dis-je. Effrayée par ma gravité inaccoutumée, par la rigidité du visage adoré qui ne lui souriait pas comme à l'ordinaire, la petite déposa le bouquet sur le corps de sa mère, et se rejeta dans mes bras.
Je sonnai; la bonne vint,--elle allait crier, --d'un geste je lui commandai le silence, et je lui remis l'enfant.
Seul je rendis les derniers devoirs à celle qui avait été mon épouse. Lorsqu'elle fut parée pour le cercueil, vêtue de blanc et couverte de fleurs, je m'agenouillai, j'appuyai ma tête sur le bord de ce petit lit d'enfant où elle avait laissé sa vie, et je pleurai amèrement.
Dayna had worshiped her husband, only to watch him strip her late mother's estate and lavish devotion on another woman. After three miserable years, he discarded her, and she lay broken-until Kristopher, the man she once betrayed, dragged her from the wreckage. He now sat in a wheelchair, eyes like tempered steel. She offered a pact: she would mend his legs if he helped crush her ex. He scoffed, yet signed on. As their ruthless alliance caught fire, he uncovered her other lives-healer, hacker, pianist-and her numb heart stirred. But her groveling ex crawled back. "Dayna, you were my wife! How could you marry someone else? Come back!"
Being second best is practically in my DNA. My sister got the love, the attention, the spotlight. And now, even her damn fiancé. Technically, Rhys Granger was my fiancé now-billionaire, devastatingly hot, and a walking Wall Street wet dream. My parents shoved me into the engagement after Catherine disappeared, and honestly? I didn't mind. I'd crushed on Rhys for years. This was my chance, right? My turn to be the chosen one? Wrong. One night, he slapped me. Over a mug. A stupid, chipped, ugly mug my sister gave him years ago. That's when it hit me-he didn't love me. He didn't even see me. I was just a warm-bodied placeholder for the woman he actually wanted. And apparently, I wasn't even worth as much as a glorified coffee cup. So I slapped him right back, dumped his ass, and prepared for disaster-my parents losing their minds, Rhys throwing a billionaire tantrum, his terrifying family plotting my untimely demise. Obviously, I needed alcohol. A lot of alcohol. Enter him. Tall, dangerous, unfairly hot. The kind of man who makes you want to sin just by existing. I'd met him only once before, and that night, he just happened to be at the same bar as my drunk, self-pitying self. So I did the only logical thing: I dragged him into a hotel room and ripped off his clothes. It was reckless. It was stupid. It was completely ill-advised. But it was also: Best. Sex. Of. My. Life. And, as it turned out, the best decision I'd ever made. Because my one-night stand isn't just some random guy. He's richer than Rhys, more powerful than my entire family, and definitely more dangerous than I should be playing with. And now, he's not letting me go.
Abandoned as a child and orphaned by murder, Kathryn swore she'd reclaim every shred of her stolen birthright. When she returned, society called her an unpolished love-child, scoffing that Evan had lost his mind to marry her. Only Evan knew the truth: the quiet woman he cradled like porcelain hid secrets enough to set the city trembling. She doubled as a legendary healer, an elusive hacker, and the royal court's favorite perfumer. At meetings, the directors groaned at the lovey-dovey couple, "Does she really have to be here?" Evan shrugged. "Happy wife, happy life." Soon her masks fell, and those who sneered bowed in awe.
Everyone in town knew Amelia had chased Jaxton for years, even etching his initials on her skin. When malicious rumors swarmed, he merely straightened his cuff links and ordered her to kneel before the woman he truly loved. Seething with realization, she slammed her engagement ring down on his desk and walked away. Not long after, she whispered "I do" to a billionaire, their wedding post crashing every feed. Panic cracked Jaxton. "She's using you to spite me," he spat. The billionaire just smiled. "Being her sword is my honor."
Rejected by her mate, who had been her long-time crush, Jasmine felt utterly humiliated. Seeking solace, she headed to a party to drown her sorrows. But things took a turn for the worse when her friends issued a cruel dare: kiss a stranger or beg her mate for forgiveness. With no other choice, Jasmine approached a stranger and kissed him, thinking that would be the end of it. However, the stranger unexpectedly wrapped his arms around her waist and whispered in her ear, "You're mine!" He growled, his words sending shivers down her spine. And then, he offered her a solution that would change everything...
To the public, she was the CEO's executive secretary. Behind closed doors, she was the wife he never officially acknowledged. Jenessa was elated when she learned that she was pregnant. But that joy was replaced with dread as her husband, Ryan, showered his affections on his first love. With a heavy heart, she chose to set him free and leave. When they met again, Ryan's attention was caught by Jenessa's protruding belly. "Whose child are you carrying?!" he demanded. But she only scoffed. "It's none of your business, my dear ex-husband!"
© 2018-now CHANGDU (HK) TECHNOLOGY LIMITED
6/F MANULIFE PLACE 348 KWUN TONG ROAD KL
TOP