ma qualité de professeur-suppléant au Muséum d'histoire naturelle de Paris, le gouvernement fran?ais m'avait joint à cette expédition. Après six mois passés
mes richesses minéralogiques, botaniques et z
ricains et européens sans être plus avancé. Ce mystère m'intriguait. Dans l'impossibilité de me former une opinion, je flottais d'un extrême à
soutenue par quelques esprits peu compétents, était absolument abandonnée. Et, en effet, à moins que cet
que flottante, d'une énorme épave, et touj
ncts de partisans : d'un c?té, ceux qui tenaient pour un monstre d'une force colossale ; d
s dans les deux mondes. Qu'un simple particulier e?t à sa disposition un tel engin mécanique, c'était p
multiplier la puissance des armes de guerre, il était possible qu'un état essayat à l'insu des autres ce formidable engin.
ouffraient, la franchise des gouvernements ne pouvait être mise en doute. D'ailleurs, comment admettre que la construction de ce bateau sous-marin e?t échappé aux yeux du public ? Garder
n Prusse, en Espagne, en Italie, en Amérique, voire même en Turqui
rins. Ce livre, particulièrement go?té du monde savant, faisait de moi un spécialiste dans cette partie assez obscure de l'histoire naturelle. Mon avis me fut demandé. Tant que je pus nier du fait, je me renfermai dans une abso
sous toutes ses faces, politiquement et scientifiquement, et je donne ici un
ypothèses, toute autre supposition étant rejetée, il faut nécessairem
e passe-t-il dans ces ab?mes reculés ? Quels êtres habitent et peuvent habiter à douze ou quinze milles a
roblème qui m'est soumis peut
iétés d'êtres qui peuplent notre pla
de poissons ou de cétacés, d'espèces ou même de genres nouveaux, d'une organisation essentiellement ? fondrière ?, qui habitent les couches inaccessible
essairement chercher l'animal en question parmi les êtres marins déjà catalog
étacé une force proportionnelle à sa taille, accroissez ses armes offensives, et vous obtenez l'animal voulu. Il aura les proportions déterminé
s de ces dents implantées dans le corps des baleines que le narwal attaque toujours avec succès. D'autres ont été arrachées, non sans peine, de carènes de vaisseaux qu'elles avaient percées d'outre en ou
nt, lancez-le avec une rapidité de vingt milles à l'heure, multipliez sa masse pa
olossales, armée, non plus d'une hallebarde, mais d'un véritable éperon comme les frégates cui
ins qu'il n'y ait rien, en dépit de ce qu'on a entrevu,
vrir ma dignité de professeur, et ne pas trop prêter à rire aux Américains, qui rient bien, qua
velopper. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d'une incomparable taille, des crustacés effrayants à contempler, tels que seraient des homards de cent mètres ou des crabes pesant deux cents tonnes ! Pourquoi nous ? Autrefois, les animaux terrestres, contemporains des époques géologiques, les quadrupèdes, les quadrumanes, les reptiles, les oiseaux étaient construits sur des gabarits
a changées pour moi en réalités terribles. Je le répète, l'opinion se fit alors sur la nature du phénomène, et le pub
monstre, afin de rassurer les communications transocéaniennes. Les journaux industriels et commerciaux traitèrent la question principalement à ce point de vue. La Shipping and Mercantile Gazet
d'une expédition destinée à poursuivre le narwal. Une frégate de grande marche l'Abraham-Lincoln, se mit en mesure de pren
tendit parler. Aucun navire ne le rencontra. Il semblait que cette Licorne e?t connaissance des complots qui se tramaient contre elle. On en avait tant causé, et même pa
a diriger. Et l'impatience allait croissant, quand, le 2 juillet, on apprit qu'un steamer de la ligne de San Francis
embarques. Ses soutes regorgeaient de charbon. Pas un homme ne manquait à son r?le d'équipage. Il n'avait qu'à allumer ses fourneaux, à
n ne quittat la pier de Brooklyn, je re
esseur au Muséum de Pa
Yo
ons
nt de l'Union verra avec plaisir que la France soit représentée par vous dans
dialemen
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re de la