img L'ami Fritz  /  Chapter 6 No.6 | 33.33%
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Chapter 6 No.6

Word Count: 3048    |    Released on: 30/11/2017

ait en marche pour Hunebourg. Et le lendemain il revenait avec une voiture de pioches, de pelles et de brouettes,

esures; il discuta l'entreprise avec le père Christel, et Kobus planta lui-même les piquets. Fi

tre Hunebourg et Biewerkirch; il ne put donc surveiller les travaux; mais Fritz, i

lever, pour voir où l'ouvrage en était, car de son lit il découvrait d'un coup d'?il l

ou trois aboiements; quand la haute grive faisait entendre sa première note dans les bois sonores; puis, quand tout se taisait de nouveau quelques secondes, et que les feuilles se mettaient à frissonner-sans que l'on ait jamais

sant; il entrait dans la grange et ouvrait la lucarne du fenil, sur l'écurie, pour donner le fourrage aux b

ant la bonne femme allumer du feu et remuer les casseroles, écartait ses ridea

re, indiquait que le soleil allait para?tre entre les

ait, aboyait. Dans la cuisine, les casseroles tintaient, le feu pétillait, les portes s'ouvraient et se refermaie

ait enfin de para?tre. Il était là, rouge, étincelant comme de l'or. Fri

rs piocher, tra?ner la brouett

orte, et faire doucement, pour ne pas l'éveiller. Il souriait en lui-même, surtout quand le chien Mopsel se mettait à aboyer dans

mfnoudels, j'en avais assez; j'aurais voulu des ?ufs à la coque, elle m'en a fait sans que j'aie dit un mot; ensuite j'avais as

; les gens de la ferme avaient fini leur repas du matin

a grosse carafe d'eau fra?che dessus, toute scintillante de gouttelettes. Les fenêtres de

quelquefois de la c?te, la blouse trempée de

s'écriait le brave homme,

plus en plus ici, je suis comme un coq en pate,

vite, et le vieil anabaptiste disait: ?Vous faites trop d'éloges à ce

t tout à fait une bonne petite femme de ménage: elle f

obus, Dieu le veuille, pour

e dans sa chambre, les deux coudes au bord de sa fenêtre, sous le toit, regardant travailler les ouvriers, les gens de la ferme aller et venir, mener le bétail à la rivière, piocher le jardin, la mère Orch

'était un véritable plaisir pour lui, de voir ces bonnes vaches, calmes et paisibles, se retourner à l'approch

-vous.... Laissez-moi passer!? leur criait S?

bois à trois pieds, elle se mettait à traire, la grande Blanche ou la petite Roesel se retour

mais à bout, c'est f

cela par la lucarn

la forêt de bouleaux. Il jetait le filet sur ces fonds de sable; mais rarement il prenait

voir; d'un seul coup de filet, je vais avoir plus de pois

etter si peu sa cave, sa cuisine, sa vieille Katel et la bière du

epteur Haan, c'est vrai; je ferais volontiers le soir une partie de youker avec eux, mais je m'en passe très bien, il me semble même que je me porte mieux, que j'ai les jambes plus dégourdies

nes d'?ufs, et d'ajouter à ce d?ner des beignets d'une sorte particulière, saupoudrés de cannelle et de sucre, Fritz trouva cela de s

e pour le bon sens et l'esprit. Où diable S?zel peut-e

rait plus bon à rien. Notre enfant, monsieur Kobus, est née pour conduire un ménage; elle sait rouir le chanvre, filer, laver, battre le beurre, presser le fromage et faire la cuisine aussi bien que ma femme. On n'a jamais eu besoin de lui dire: "S?zel, il faut s'y prendre de telle manière."

n n'a pas besoin de leur dire: "?a, c'est un moineau, ?a une caille ou une perdrix;" ils ne tombent jamais en arrêt devant une motte de terre co

c des bras, des jambes et de la bonne volonté; mais distinguer une sauce d'une autre, et savoir les appliquer à propos, voilà quelque chose de rare. Aussi j'estime pl

Kobus; vous êtes plus fort

ces beignets, que je voudrais savoir co

, dit le vieux fermier, elle nou

la nuque, et remontant du bas de sa petite jupe de laine bleue à son joli menton rose. Des centaines de petites taches blanch

a toute animée, demandan

sa petite bouche entrouverte laissant apercevoir de jolies dents blanches, Fritz ne put s'empê

re? fit-elle de sa petite vo

tes beignets si bons qu'il voudr

de plaisir. ?Oh! monsie

s sont délicieux; commen

cile, j'ai mis... mais, si vous voulez,

sait écrire,

s de la ferme depuis deux a

ie ménagère.... Je n'oserai plus la tutoyer tout à l'heure

reine, rentra dans la cuisine, et Kob

trente mètres de long sur vingt de large, un mur solide l'entourait; mais avant de poser l

Fritz, le même soir, pendant le souper, déclara qu'il retournerai

urs et les noisettes auront leurs pompons, les sureaux et les lilas auront leurs grappes, tou

l qui pensait vous servir de

gent à recevoir, des quittances à donner; j'ai peut-être des lettres qui m'attendent. Et puis,

le fermier, n'en parlons plus;

sa fenêtre, avant de se coucher, ne l'entendit pas chanter de sa jolie voix de fauvette, en lavant la vaisselle. Le ciel, à droite vers Hunebourg, était rouge comm

èches aigu?s, les osiers et les trembles, papillotant à la brise, se dessinaient en larges hachures noires sur ce fond lumineux. Un oiseau des

ebout, le baton à la main devant la ferme avec le v

s'écria-t-il, je ne l'a

étable ou dans la co

nthal sans lui dire adieu.? Orchel entra dans la maison,

suis très content de toi, tu m'as bien traité. Et pour te prouver ma s

t comme Fritz insistait, disant: ?Prends donc cela. S?zel, tu l'as bien gagné.? Elle, détournant la tête,

de son c?té pensa: ?Cette petite est fière, elle croit que

ettant le goulden d

la vaudra mieux. Seulement, il faut que tu me donnes la m

ête penchée en arrière sur l'épaule, lui tendit la main; et q

aptiste. Tenez, elle a cru que vous vouliez la

suis bien faché de

st aussi trop orgueilleuse. Cette p

l vaut mieux être un peu trop fier que pas assez, croyez

e sur la c?te; ils se séparèrent près des roches, et Kob

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