comtesse de Sophie Ségur's Books
Un bon petit diable
Extrait : "Je t'offre donc le bon petit diable escorté de sa Juliette, qui est parvenue à faire d'un vrai diable un jeune homme excellent et charmant, au moyen de cette douceur, de cette bonté chrétiennes qui touchent et qui ramènent. Emploie ces mêmes moyens contre le premier bon diable que tu rencontreras sur le chemin de ta vie."
Pauvre Blaise
Pauvre Blaise est un roman de la Comtesse de Ségur paru en 1861. Extrait |...Blaise était assis sur un banc, le menton appuyé dans sa main gauche. Il réfléchissait si profondément qu'il ne pensait pas à mordre dans une tartine de pain et de lait caillé que sa mère lui avait donnée pour son déjeuner...| |Source Wikipédia|
L'auberge de l'ange gardien
Extrait : "Il faisait froid, il faisait sombre ; la pluie tombait fine et serrée ; deux enfants dormaient au bord d'une grande route sous un vieux chêne touffu : un petit garçon de trois ans était étendu sur un amas de feuilles ; un autre petit garçon de six ans, couché à ses pieds, les lui réchauffant de son corps ; le petit avait des vêtements de laine, communs, mais chauds ; ses épaules et sa poitrine étaient couvertes de la veste du garçon de six ans..."À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
Jean qui grogne et Jean qui rit
Jean qui grogne et Jean qui rit est un ouvrage de la Comtesse de Ségur paru en 1865. Jean (qui rit) et Jeannot (qui grogne) sont deux cousins. Ils quittent la Bretagne pour aller travailler à Paris. Jean est d'un caractère agréable (heureux et compatissant) et cela lui attire l'estime et la sympathie de tous. Jeannot, quant à lui, malgré les bons conseils de son cousin et l'aide de deux protecteurs (M. Kersac et M. Abel qui l'aident pour faire plaisir à Jean), devient une véritable canaille, ce qui l'isole progressivement. L'auteur donne dans ce livre une image positive de la campagne en opposition à la grande ville corruptrice : « Mon dernier mot sur ce magnifique Paris : c'est qu'on doit être bien aise d'en être parti. Il y a du monde partout et on est seul partout. 'Chacun pour soi et Dieu pour tous', dit le proverbe , c'est plus vrai à Paris qu'ailleurs. » Elle y montre aussi que les choix de vie (vers le Bien ou vers le Mal) ne sont pas uniquement la conséquence de l'éducation : Jeannot, malgré la bienveillance de Jean et de Simon qui lui prêtent des habits, de M. Kersac qui lui confie son cheval, de M. Abel qui lui fournit 20 francs, choisira toujours la voie du Mal (il maltraite le cheval et tente d'escroquer Jean). Kersac dit de lui : « Rien n'y fera , c'est un être sans cœur, rien ne le touchera. » M. Abel conclut : « Que puis-je y faire ? Comment changer un cœur mauvais et ingrat ? » |Source Wikipédia|
The Story of a Donkey
The author of this book was the daughter of that Count Rostopchine who was governor of Moscow when it was burned in 1812, and Napoleon was obliged in consequence to make his disastrous retreat from that city. Born in 1799, Sophie de Rostopchine married, in 1821, the Count de Ségur, a son of one of the oldest and proudest families of France. She was a very accomplished and lovable person, and, as her writings attest, she was thoroughly in sympathy with the ways and feelings of children.