img Ma Cousine Pot-Au-Feu  /  Chapter 4 No.4 | 22.22%
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Chapter 4 No.4

Word Count: 1801    |    Released on: 06/12/2017

s grelots fêlés, j'avais reconnu un carabas de louage de la ville; je sortis précipitamment, laissant mes troupes se tirer d'affaire toutes seules, pour savoir qui venait chez nous si tard sans ê

me semblait que ce n'était plus le même homme. Ce fut donc avec une sorte de timidité que je m

prendre dans les profondeurs ténébreuses de la voiture un paqu

rron, tandis que l'ombre, une ombre féminine autant q

du salon, commanda-t

our au milieu de l'immense table. Mon oncle se dirigea vers un canapé, y déposa son fardeau, écar

comme il arrivait à mes soldats de plomb lorsque, d'aventure, mon pied se posait sur eux. Son beau visage, naguère si plein d'une énergie que certains jugeaient trop hautaine, s'était détendu comme un masque mouillé. On n'y lisait plus qu'une sorte d'humilité douloureuse, un doute de soi-même et de toutes choses, navrants même pour

venir ici toute seule; toute seule, tu

du r?le que le hasard me donnait dans ce qui me paraissait un drame à peine vraisemblable, et très pet

use qui était de règle à Vaudelnay, il faut descendre au salon, tout de suite,

a?eule en avait vu bien d'autres, comme beaucoup de ses contemporaines. Elle se leva de son fauteuil, remit da

il donc? U

ttant un doigt sur mes lèvres, e

pas obligé de ? dire autre chose ?. Dans le fond de moi-même, j'étais assez flatté de renverser les r?les. A ce

quelque animal exotique, généralement assez mal re?u. Serins de Hollande, marmottes des Alpes, chiens des Pyrénées, tortues d'Egypte, singes d'Algérie, j'avais vu successivement tous ces échantillons du règ

où j'irai lui porter du lait et des coeur

e d'aspect modeste, encore jeune, coiffée d'un objet bizarre en paille noire, qui se tenait debout, le regard fixé sur l'enfant, sans faire plus d'attention à ce qui l'entourait, voire même à mon humble personne, que si elle e?t été

fit sont entrée. Mon oncle resta comme il était, mais il fit un quart de conversion sur ses genoux

é par la balle dans le crane de ce pusillanime), ma soeur, elle avait une petite fille. Voulez-vou

a bonté, la compassion, la charité avec sa douce flamme, embellir à ce point un visage resté plein de grace sous ses cheveux blancs. O grand'mère, comme je vous remercie

omber à genoux devant les femmes, la meilleure d

s à Angoulême, une chrétienne plus charitable que la marquise de Vaudelnay. Je m'attendais donc, surtout après le regard que je viens de décrire, à voir ma grand'mère étreindre sa petite nièce dans ses bras, car

n dirait que vous demandez

ions du réveil se manifestaient, l'autre sur ma grand'mère qui, à cette heure, semblait réfléchir. Ah! si l'on m'avait dit la veille que ? notre ma?tresse ?, ainsi que l'appel

d'mère fit cette question que je ne pus m'empêcher

i ne nous avez-vous pas d

hoires, comme s'il avait broyé ses

t parce que je

onne! Elle v

visage rose entouré de cheveux noirs emmêlés ressemblait à cette figure aux tons de parchemin, coupée durement d'une moustache grise, surmontée

mère; je vais parler à celui qui est

ans remuer la tête, des yeux effarés, si noirs qu'on aurait dit deux petits

se nomme

sam

éanmoins la chatelaine se penchait tendrement sur sa petite-nièce pour l'embrasser, lorsque l'enfa

taire! s'écria ma grand'mère en

e pen

ous faites une fameuse

as vouloir embr

approchée de sa pupille et cherchait à l'apaiser,

mon a?eule. Je vais

ller à tes devoir

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