img Ma Cousine Pot-Au-Feu  /  Chapter 9 No.9 | 50.00%
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Chapter 9 No.9

Word Count: 1302    |    Released on: 06/12/2017

acilité du programme ou l'indulgence des juges; toutefois, depuis ce premier succès de ma carrière intellectuelle, je n'ai jama

e à l'oncle Jean et à sa petite-fille. Grace à Dieu, mes amis et mes amies du grand monde étant dispersés

er dans son étude le premier de chaque mois, devait posséder ce renseignement indispensable. En effet j'appris par lui que le vieillard demeurait rue d'Assas. Je pris un fiacre pour me rendre chez mon oncle, d'abord pour ne pas faire à ses yeux l'ét

jours plus t?t devant mes examinateurs. Même, tout en montant les marches, je me disais qu'on peut toujours trouver moyen d'anonner quelques

tu pas venu nou

t comme si nous nous étions quittés la veille, avec cette bonté triste et ce sourire résigné que je lui c

re. Il portait ses cheveux blancs très longs; sa taille s'était vo?tée; ses vêtements, d'un entretien irréprochable, trahissaient la

u ne sais pas! Elle a pris une rage de barbouiller des to

re, mais aussi parce que, subitement, mes yeux se trouvèrent un peu brouillés. Ces toiles étaient des vues de Vaudelnay, du parc, des environs, probablement faite

fit volte-face et s'en fut re

dit-il après une minute de silence. Je s

butiai-je. Comment

e et me raconte tout ce qui se passe à Paris; ce qui se passe de

e lui avais toujours connue, quand il voulait éviter

ort beaucoup?

mé toute ma pens

re moins, et de tenir compa

l'air d'en vouloir le moin

est une duègne irréprochable. Pauvre Rosie!

l'occasion de se consoler, d

s vacances? T

ain

eptible dans lequel je lus to

ire aux gens que l'on rencontre une fois par an, tandis qu'une heure semble courte à l'intimité de chaque jour. Mon oncle réfléchi

oilà ma commission pour les vivants, qui ne sont que deux: ton père et ta mère. Quant aux morts, qui sont beaucoup plus nombreux, tu leur diras-son

illa sous une expressio

bablement bient?t-le

laisanterie de

era déjà bien

t?t, que je n'avais pas songé à faire depuis, distrait que j'étais par des sujets plus modernes. Je deman

i vous étiez pour moi un étranger. Ne vous semble-t-i

nu bien curieu

primer l'ironie. Mais je vis bien que ma quest

ppartient à notre lignée, et c'est à tes mains qu'est confié désormais l'avenir du bon vieux nom. Je

s grave. A mon grand étonnement, le vieillard

sion d'un des v?tres qui fut jugé sévèrement par ceu

te heure ma curiosité à tous les diables, prévoyant plus d'une comparaison embarrassante pour moi dans la confession qu'on m'an

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